Je viens de finir l’excellent article de Ken Auletta dans le New Yorker au sujet des conséquences des différentes négociations avec les éditeurs classiques et l’avenir du business model du e-book, http://www.newyorker.com/reporting/2010/04/26/100426fa_fact_auletta?currentPage=all, et la question reste entière.
L’iPad permettra de lire la presse, et tous les livres Amazon puisqu’une application a été développée. Et il permet aussi de faire plein d’autres choses. Mais il fera mal aux yeux. Le Kindle n’aura ni couleurs, ni presse, mais la meilleure expérience de lecture.
Argh ! Je n’ai pas encore décidé, donc, même si j’avoue que j’ai trouvé l’iPad pour l’instant très lourd (il faut le poser si on souhaite lire plus de 10 minutes), et que je n’ai pas encore eu l’occasion de soupeser ou regarder un Kindle autrement que les (mauvaises) photos sur la plupart des sites.
Et oui, je fais partie de ces (sans doute rares) personnes qui pensent que le seul intérêt de l’iPad réside dans la lecture électronique. A part pour Stanza, je n’ai jamais trouvé mon écran d’iPhone trop petit. Alors que j’ai un réel souci de stockage de livres (je dévore, même si les précédents billets ne vous ont pas permis de déduire que je fais autre chose que regarder la télé).
Pour moi, il ne s’agira pas de prix par livre comme le débat semble être actuellement dans les négociations citées par Auletta (même si au bout du compte ça influera certainement sur le nombre de livres achetés), mais sur le confort de lecture et la disponibilité de titres. Alors je dois attendre que Google lance son lecteur ?
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