Aujourd’hui, c’est le vide complet. La peur de mal faire. La terreur de me planter. Au point que je voulais publier une page blanche. Pas de bol, ça vient d’être fait là. Donc me revoilà à mon point de départ.
Pourtant, ça se passait plutôt bien jusqu’ici. Des sujets divers et variés, un lectorat plutôt constant, des commentaires que je n’ai même pas besoin de modérer, des remarques plutôt sympas de gens que j’apprécie, même un cadeau provoqué par mon blog, bref, que du bonheur. Et là, je sèche.
Pas de série à disséquer, pas d’émission à démolir, pas de livres à critiquer, pas de musique à écouter, pas d’actu à commenter… (oui, j’ai cherché un verbe en « er » pour remplacer démolir, même pas trouvé, c’est dire à quel point je ne suis pas en forme).
La faut à quoi ? Au temps, sûrement (j’ai appris cela avec le temps, blamez toujours la météo. Ça ne fait de peine à personne, ça évite d’avoir des questions subsidiaires, et ça fait femme-sensible-en-connexion-avec-le-monde-qui-l-entoure). C’est vrai quoi, ce gris, ce froid, après nous avoir fait miroité un été radieux, c’est rude… Même surfer sur les pages des hôtels de mes vacances à venir (bon, dans quelques mois encore, mais faut tenir jusque là) ne m’ont pas donné d’idée géniale à partager avec vous ce soir.
Je l’avais dit au début, c’était ma plus grande peur. Il m’aura fallu 19 billets en 17 jours pour que ça arrive.
Mais après tout, pourquoi je devrais toujours être celle qui a des idées ? Vous en avez sûrement, vous, des idées ? Je prends ! J’attends…
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