Oui, je sais, d’habitude mes RIP sont plus populaires que ça.
Mais là, on parle de l’auteur de E=MC2 mon amour. Celui qui m’a appris qu’on pouvait aimer la logique et les sciences ET être romantique. Celui qui a baigné mon enfance, avec Bernard Lentéric, et sa Nuit des Enfants-Rois (OK, j’ai un truc pour les histoires de surdoués, non, je ne suis pas en analyse pour ça, je devrais ?).
Apparemment, il est décédé vendredi dernier, à 77 ans. C’est marrant, je pensais pas qu’il avait cet âge là. Pour moi, les auteurs de mon adolescence, ils ont gardé l’âge de l’époque. Impossible et irrationnel, je sais, mais c’est comme ça.
Et il a fallu attendre ce soir pour que l’AFP nous l’apprenne. 5 jours. C’est les vacances, pourtant, c’est pas comme si ils étaient débordés, à en voir les journaux en ce moment qui tournent en boucle sur les histoires de l’été… Quand Michael est mort, on l’a appris avant même son dernier souffle, presque…
Ça fait quelque chose. Pas de suite à Pythagore je t’adore (la suite de E=MC2, bien des années plus tard…).
Forcément, j’ai envie de relire les 2. Je sens que je vais galérer pour les trouver en version numérique… Ils ont fait une version anglaise ?