World without end, une suite à la hauteur

Je n’écris plus beaucoup ces derniers temps faute de temps, et donc je n’ai fait aucune critique de tous les merveilleux ou moins bon bouquins que j’ai eu le temps de lire pendant mes vacances il y a déjà quelques semaines.

J’ai donc décidé cette semaine de rattraper cela et de publier sur ces différents opus. Le premier : World Without End, de Ken Follett.

Je fais partie de ceux qui ont découvert Ken Follet avec Pillars of the Earth, pas ces bouquins d’espionnage / d’histoires du XXe siècle. Et j’avais adoré. D’ailleurs, je me dis qu’il faut quand même que je regarde la série inspirée de ce livre un de ces jours…

Donc inutile de dire que j’avais de fortes attentes sur World Without End. Et je n’ai pas été déçue.

On retrouve tous les éléments du premier : la nature humaine sous toutes ses facettes… Et au centre des convoitises, la cathédrale. Les intrigues de cour, les hypocrisies de l’église, les bassesses humaines, et bien sûr, quelques héros et héroïnes malmenés par le sort et les méchants. Le tout dans une langue facile à lire, moderne, avec une construction chronologique mais puissante car alternant les points de vue lors des chapitres.

En plus l’avantage avec les livres de Ken Follett, c’est qu’ils sont longs. On ne se sent pas floué. J’ai mis une bonne journée et demie de farniente pour le lire, et je ne peux pas en dire autant d’autres bouquins téléchargés pour les vacances…

Donc je le recommande. Et il faut vraiment que je trouve les DVD de Pillars of the Earth, ne serait-ce que pour me remémorer les faits…