Bon, voilà, on est le 4 février, et déjà mes bonnes résolutions volent en éclat.
Cette semaine, j’ai raté les sourires de Bébé 3 soirs sur 5 ; je n’ai rien publié sur ce blog ; et d’autres choses que je ne partagerais pas forcément à la lecture de mes proches… Bref, dès début Février, je ne m’en sors plus. Et je sais que je ne suis pas la seule.
Certes, j’ai des excuses : pour la publication sur ce blog par exemple, j’avoue que je lis des choses peu intéressantes à partager (romans de plage, entre autres, mais ça fait du bien quand même), je ne regarde plus les séries US (merci le FBI), et j’ai décidé que je ne regarderai Des Paroles et des Actes (et la cravate de François Lenglet) que si c’est un « vrai » candidat à la présidentielle, donc jeudi soir c’était sans moi.
Pour les soirs sans les sourires de Bébé, j’ai moins d’excuses valables. Le boulot, tout bêtement… Mais promis, là, je remets de l’ordre, parce que 3 soirs dans la semaine, c’est beaucoup. C’est trop.
En fait, pour l’instant, même la bonne résolution de rentrer dans mes tailleurs d’avant-grossesse que j’ai tenu (pour les 5 mois de Bébé, hein, pas trop vite non plus), j’ai envie d’arrêter. De tomber dans la boîte de Ferrero Rocher. De manger une raclette. La faute à la météo ? Oui, elle a bon dos la météo…
En plus, je ne lis plus mes TL, je ne tweete plus, je ne publie plus, je poste à peine 10 fois par jour pour Foursquare histoire de maintenir mes mayorships, c’est presque comme si j’hibernais digitalement… Pas à la Thierry Crouzet, hein, je n’ai pas pris de décision consciente ni choisie, je suis juste à l’arrêt. Au ralenti du moins.
Et si on pouvait vivre sans ? Ça, c’est une résolution que je n’ai pas prise en début d’année, mais serait-elle en train de se prendre à mon insu ?
Non. Impossible. Ça se saurait si on pouvait.