Norbert, un candidat comme on les aime…

Je sais, j’aurai dû publier ce billet hier matin et non ce matin, mais voilà, depuis Bébé, je n’arrive pas à finir une émission. Non que Bébé pleure, mais je m’endors.

Donc je finis les émissions le lendemain en replay. Donc je n’écris que ce matin.

Et franchement, hier soir, en regardant la fin de Top Chef avec Cher-et-Tendre, on a bien rigolé. Parce que Norbert, c’est un poème. Je ne reproduirais pas ici certaines de ses phrases cultes, il se peut que mes parents lisent ces lignes.

De façon générale, Top Chef, cette année, c’est en effet top. Pas de blonde qui ne sert à rien à la présentation, des candidats hauts en couleurs et en cuisine (Lignac doit être soulagé d’avoir enfin son étoile, après un des candidats, mais bon, il l’a quand même), et des épreuves plus folles encore que l’an dernier.

Hier soir c’était dur, parce que on aimait bien Ruben, et on adore Norbert. Donc les voir s’affronter en dernière chance, on savait qu’on risquait de perdre l’un de nos candidats préférés. Et ça n’a pas loupé…

Bon, je vais pas faire un billet entier juste sur Norbert, surtout si je peux pas citer ses expressions pleines de fraîcheur.

Mais je profite de l’occasion pour pousser un coup de gueule contre Piège et Marx : ils vous paient pas assez bien, Costes et le Mandarin Oriental, pour que vous alliez vous commettre dans une mauvaise publicité pour un produit vaisselle ? Le produit en lui-même, je n’ai rien contre, c’est même ce que j’ai à la maison. Mais franchement, vos performances d’acteur sont médiocres, le scénario inexistant, et le résultat nul. Même pas assez kitsch pour que ce soit drôle.

Christian Blachas, reviens, ils sont devenus fous.

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