Bon, hier soir, Bébé était chez ses grand-parents pour cause de Nounou malade, Cher-et-Tendre était au boulot pour cause de lundi soir, donc j’étais tranquille peinard, et ça tombait bien, parce que dimanche 25 mars au soir aux US commençait la saison 5 de Mad Men par un épisode double, en plus.
C’est embêtant les hiatus inter-saisons. On oublie des trucs. En quelle année on s’est arrêté. Ce qu’il s’est vraiment dit entre Joan et son mari. L’âge des enfants de Don.
Mais en fait on s’en fout. On replonge dans l’atmosphère immédiatement. Entre pitchs avant-gardistes, soirées qui annoncent l’époque hippies et intrusions d’événements réels (comme la scène d’introduction, Y&R a vraiment eu des soucis à l’époque), on passe 1h30 (double épisode, je vous dis !) à se lover dans un cocon pré-soixante-huitard qui fleure bon le yéyé-pré-hippie.
Bon, allez, pas de spoiler, je vous laisse découvrir cela par vous-mêmes. Mais j’espère qu’ils vont finir par accepter le « bean ballet ». Parce que moi elle m’a convaincue.
Et Don est toujours aussi beau. Même s’il commence à pencher vers le vieux beau, finalement, à rattraper Roger du mauvais côté de la quarantaine, à vivre les mêmes angoisses de mari de (beaucoup plus) jeunes femmes. Et Christina Hendricks reste une actrice époustouflante, à gérer ses hormones sur le canapé de Pryce.
Le seul souci, c’est que depuis la saison 4, on ne fume plus dans l’appartement, rapport à Bébé et tout. Et regarder un épisode de Mad Men sans fumer, encore plus 2 d’affilée, c’est une gageure. J’ai tenu, mais franchement, je mérite une médaille. Sérieux.
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