Bébé à la maternelle – chapitre 2 – les nounous

Bébé était en garde partagée avant la maternelle. De 8h30 à 18h30, tous les jours. Avec Copain et Copine (Copain ayant eu une petite sœur assez vite après le début de la garde, Bébé et Copain avaient à peine 20 mois). Et une super Nounou 1. Mais 18h30, c’était trop tôt, donc il avait aussi Nounou 2, qui allait le chercher à 18h30, le ramenait, jouait, lui donnait le bain, etc. Et il a eu Nounou 1 et Nounou 2 de ses 3 mois à la rentrée à l’école.

Nounou 1 reste avec Copine (et Copain à la sortie de l’école, mais pas la même que Bébé, on croisait la limite d’arrondissement pour le déposer), et Nounou 2 restait avec Bébé à partir de 18h30. Mais 5 jours à l’école jusqu’à 18h30, on s’est dit avec Cher-et-Tendre que c’était trop. Et puis je m’étais mis en tête de l’inscrire à des activités, donc dès le mois de Mai j’avais payé 1 an de cours d’anglais le mardi à 17h. Donc il fallait une Nounou 3.

Jusqu’au jour de la rentrée, Nounou 2 avait une Nounou 3 disponible. Étudiant. Qui n’avait pas encore ses horaires de cours, et avait promis de faire en sorte que 2 soirs par semaine (dont le mardi), et le mercredi après la cantine, il pouvait aller chercher Bébé. Et la première semaine, ça s’est passé comme cela.

La deuxième semaine après la rentrée, patatras. Nounou 3 reçoit son emploi du temps de la fac, et il n’y a aucun, mais alors aucun moyen qu’il n’assure les horaires choisis. Panique à bord. Parce que ça voudrait dire que Bébé reste jusqu’à 18h30 tous les jours, même le mercredi. Inenvisageable.

Et là on a une bonne étoile. Une Nounou 3 dispo qui publie sur Facebook qu’elle est dispo. Bébé la connaissait (elle était « Nounou de vacances » avant), et elle venait de dire qu’elle était sur Paris, donc tous les créneaux étaient possibles. On s’est précipité, et la troisième semaine après la rentrée, la logistique était en place.

Forcément, Nounou 3 cherche un temps complet pour Septembre prochain, ce que nous ne pourrons pas lui donner. Donc on commence à chercher histoire de ne pas revivre la panique.

Vous connaissez quelqu’un ?

 

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