Oui c’était le titre d’une série, mais non ce n’est pas le sujet de ce post. Et oui, le titre est en anglais, mais je n’écris plus en anglais car la dernière fois vous aviez peu lu l’article en question.
Pour rappel (ou pour vous l’apprendre d’ailleurs), Cher-et-Tendre a peur de l’avion. Cher-et-Tendre parle relativement bien l’anglais tennis (il donne des cours en anglais sans souci), moins bien les mots de tous les jours. Enfin apparemment surtout quand c’est moi qui parle. Cher-et-Tendre n’a jamais été aux US, du coup.
Moi, pour ceux d’entre vous qui me connaissent bien, les US je connais. J’y ai vécu, j’y ai voyagé perso et business, j’y ai chanté, j’y ai passé mon permis de conduire, j’y ai encore pas mal de potes d’ailleurs.
Ce post, c’est mon petit cri de victoire. J’ai convaincu Cher-et-Tendre de m’accompagner sur un business trip, à Boston, donc, vous aurez deviné. Dans un hôtel à côté du Boston Common, en plus, pour lui qui aime le vert, c’est important à préciser.
Alors je suis ravie de l’emmener. En plus Boston, on commence « facile », parce que direct NY ça aurait été plus rude. Moins vert. Là au moins, il aura le meilleur des 2 mondes : une ville plus humaine, plus « européenne », un grand parc, et autant de shopping. Et moi pour faire guide touristique. Parce qu’en plus, Boston, je connais bien, j’ai étudié à 1h de route et y ai passé pas mal de temps. Alors bien sûr je prends un jour off pendant le voyage, histoire de faire traductrice quand il va demander sa pointure chez Nike.
Et Bébé alors ? Ben en fait tout est parti de là, Bébé est en vacances scolaires chez Papy et Mamie belges pendant mon voyage pro. Donc plutôt que laisser Cher-et-Tendre seul à Paris, je l’embarque. Avec une valise vide en soute pour ne pas être coincés au retour.
Parce qu’à Amsterdam pour mes 40 ans, on avait dû racheter une valise, et il y a beaucoup moins de shopping à faire…
Génial un petit voyage en amoureux !
Et puis ça permet de garder son chéri avec soi plutôt que ce qu’il fasse la bringue tout seul dans toutes les nuits parisiennes