Ça manque, les matchs le dimanche…

À Wimbledon, s’entend.

Parce que sans match à commenter en direct, Stade 2 en a refait des tonnes sur le foot. Et Cher-et-Tendre, il rate pas Stade 2.

Le Foot, ils disent, sur Stade 2 (si si, je vous jure, la majuscule s’entend même quand c’est Bernard Laporte qui en parle). Avec Daniel Cohn-Bendit en duplex (parce qu’apparemment, c’est écolo, une Coupe du Monde, j’ai pas vu les bilans carbone, mais bon, soit).

Et donc, plein de foot. De la France bien sûr (avec une rétrospective qui remonte à Mathusalem de comment on aurait pu ou pas prévoir ce qui s’est finalement passé), des autres pays un  peu quand même. Pendant longtemps. Enfin, si je regarde ma montre, une petite heure, mais ça m’a paru durer 3 jours. C’est dire à quel point j’en ai toujours et encore marre du foot.

Heureusement, ils viennent d’accueillir Nicolas Mahut sur le plateau (bon, pour moins de 10 minutes, c’est quand même vachement moins important que le Foot). Mais pendant ces 10 minutes, on a parlé de sport, de vrai, de dur, de tatoué. Parce que ce mec, là, il a non seulement battu des records, il a surtout démontré la vraie ambition et la vraie persévérance d’un joueur qui veut gagner un match. Truc de ouf, je vous disais.

Et lui, il était tout seul.