J’étais très fâchée par les travers de facilité dans lesquels étaient tombés les scénaristes de Fringe à la fin de la saison 2, et me suis donc précipitée sur le premier épisode de la saison 3 pour vérifier si ça valait le coup que je m’entête ou si je laissais complètement tomber (ce qui, étant donné les problèmes d’emploi du temps dont je parlais ici, pourrait avoir des conséquences bénéfiques).
Malheureusement, ils se sont rattrapés, et bien. Le premier épisode, directement à la suite du cliffhanger prévisible à 10 000 kms de la saison dernière, prend une voie intéressante. Ils ont normalement de quoi tenir une bonne demi-saison avec le twist introduit habilement dans ces 40 premières minutes.
Donc maintenant, j’ai hâte de la suite.
Ça va pas m’aider à écrire plus souvent sur mon blog, tout ça…
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