Trop envie de vous parler de Koh-Lanta Johor…

C’est pas tout ça de vous parler d’avions annulés, de shopping de première nécessité, de Nike pour Cher-et-Tendre, hier soir c’était le retour des aventuriers, des vrais, ceux de Koh-Lanta Johor bien sûr.

Koh-Lanta, c’est un super concept, qu’on ne présente plus. Ils changent régulièrement deux trois trucs histoire de faire comme si ils se réinventaient, mais cette année, je n’ai pas encore trouvé vraiment de nouveauté. Bon, pas de belge / suisse / autre francophone (Denis dit donc « 20 français » au début d’émission), ils ont ressorti l’île des bannis (même si on ne sait pas encore comment ils vont les faire revenir, ni même si ils vont les faire revenir), et comme je vous le disais, ils sont particulièrement agréables à regarder.

Mais pour le reste, îles assez inhospitalières, bêbêtes en tous genres partout, des fortes têtes sans qui ce serait beaucoup moins drôle à suivre, des épreuves de dingue, rien à manger, bref, tout ce qu’on aime avec Cher-et-Tendre, ça détend bien le vendredi soir (là, remarquez, on sort d’une semaine de vacances, mais bon, fin de semaine prochaine, ça fera du bien).

Hier soir c’était le deuxième épisode. Île des bannis, donc, mais surtout le côté Guerre du Feu (puisque a minima une équipe ale feu à cet épisode là, mais cette saison les 2 équipes ont eu le feu hier soir) : les deux équipes se sont déchirées à cause du riz. Alors d’accord, c’est du montage, c’est quand même un peu scripté tout cela, on n’est pas complètement dupe, mais bon, dès qu’ils ont le feu, c’est systématique, il y a les pour et contre rationnement du riz. Ceux qui veulent compter en coquillages, ceux qui ont faim, ceux qui préfèrent consommer avant la réunification, ceux qui au contraire souhaitent arriver avec quelque chose pour ne pas avoir la honte, bref, la guerre du riz quoi.

Alors bien sûr, à tous les épisodes il y a une élimination, donc les stratégies commencent à se mettre en place. On sort les plus faibles au début, classique, mais ils sont rarement seuls dans une équipe à être faible (en plus, tout est relatif…) donc tractations, efforts de certains en danger sur la vie sur le camp (s’ils étaient bons dans les épreuves, ils ne seraient pas en danger à ce stade), conseil avec les questions de Denis qui rappellent aux candidats que les personnes qui les éclairent la nuit servent aussi à les enregistrer (et question sur le riz, donc), et puis les votes, finalement sans beaucoup de surprises… Mais Denis Brogniart a quand même toujours autant de classe pendant le dépouillement, et du coup, on regarde quand même…

Mais le plus cool de Koh-Lanta, c’est que par rapport à Top Chef, c’est plus facile à regarder pendant qu’on fait Dukan.