Et si on parlait de Koh-Lanta ?

Bon, Denis Brogniart nous avait prévenu, le début de Koh-Lanta Johor ne ressemblerait à aucun autre.

Les deux premiers épisodes, bien qu’intéressants, ne laissaient pas présager le coup de théâtre du troisième : les équipes sont re mélangées… Même si certains avaient repéré dans le générique des changements de couleur annonciateurs. Cher-et-Tendre et moi, j’avoue, on regarde pas vraiment le générique, on a le sentiment que c’est toujours la même chose. On a eu tort.

Vendredi dernier, troisième épisode donc. Les bannis se battent, les jaunes gagnent, et pouf ils se retrouvent capitaines des 2 nouvelles équipes. En plus, comme les couleurs (ni les campements, j’y reviendrai plus tard) ne changent pas, ça rend les choses compliquées : il y a les nouveaux jaunes ex-jaunes, les nouveaux rouges ex-rouges, les nouveaux jaunes ex-rouges, les nouveaux rouges ex-jaunes, bref, les Papous à poux ne se sont jamais si bien portés. Les campements ne changent pas non plus, donc. Apparemment il y en a un mieux que l’autre (franchement, au chaud dans mon canapé, je ne vois pas vraiment la différence).

Épreuve de confort avec le harpon (normal, on est au troisième épisode), épreuves de plus en plus compliquées d’ailleurs. J’espère qu’ils coupent au montage les vraies explications données aux candidats, par ce que franchement c’est pas d’une clarté limpide ce qu’ils diffusent. Certes, une fois qu’ils démarrent, on comprend a l’usage, mais c’est du haut niveau de complexité cette année quand même. Et sortie du premier stratège, qui a essayé de retourner le cerveau de son équipe, mais sans grande subtilité, il faut l’avouer.

Donc on passe de bons vendredis soirs, à présent. Et vu qu’ils sont encore 17, on en a pour un moment…